Accueil High-Tech Elon Musk licencie mĂȘme les techniciens de surface chez Twitter đŸ˜”

Elon Musk licencie mĂȘme les techniciens de surface chez Twitter đŸ˜”

1195

Les changements menĂ©s sur ne semblent avoir aucune fin. AprĂšs avoir suspendus des comptes, cette fois-ci, licencie de nombreux employĂ©s. L’entrepreneur compte remplacer ces employĂ©s par des robots. Tristement, ces personnes ont Ă©tĂ© renvoyĂ©es sans compensation. Voici ce qui s’est passĂ©.

Elon Musk licencie un grand nombre d’employĂ©s

Une rĂ©volution qui semble sans fin est menĂ©e par Elon Musk pour son « nouveau Twitter ». Le rachat du cĂ©lĂšbre rĂ©seau social par l’un des hommes les plus riches de la planĂšte suscite toutefois de nombreuses critiques, notamment de la part de ceux qui travaillent pour le gĂ©ant informatique.

Coupes et coupes : telle est la politique de Musk. Moins de travailleurs, mais plus d’heures pour tous et, si possible, leur remplacement relatif par des robots. AprĂšs les employĂ©s, qui se sont fait claquer la porte au nez pendant la nuit, maintenant c’est le tour des nettoyeurs.

Dans le bureau de San Francisco, en fait, ils ont Ă©tĂ© licenciĂ©s sur place du jour au lendemain, sans mĂȘme recevoir de compensation ou de remboursement. La dĂ©cision a Ă©tĂ© prise, une fois de plus, par Musk lui-mĂȘme, et ce sont les mĂȘmes, dĂ©sormais, anciens employĂ©s de la BBC qui ont dĂ©noncĂ© leur situation de travail actuelle. Avec une postface : leur travail n’est plus nĂ©cessaire. Ils seront, en effet, remplacĂ©s par des robots.

Lire aussi :  Apple condamnĂ© pour pratiques illĂ©gales Ă  l'Ă©gard des dĂ©veloppeurs français

Une dĂ©cision qui a quelque chose d’absurde, alors que la controverse couve de toutes parts. Un sĂ©nateur de l’État de Californie tonne contre Musk lui-mĂȘme et contre ses dĂ©cisions farfelues sur le sort des ouvriers qui ont travaillĂ© et travaillent dans l’entreprise Twitter.

Twitter

Twitter : les nettoyeurs remplacés par des robots

« Il les traite comme des dĂ©chets. » – a dĂ©clarĂ© le sĂ©nateur. Mais il y a aussi ceux qui, Ă  l’instar du procureur de la ville de San Francisco (oĂč se trouve le siĂšge de Twitter et oĂč, rappelons-le, les nettoyeurs ont Ă©tĂ© licenciĂ©s), tentent de dĂ©terminer si, avec sa derniĂšre et folle dĂ©cision, Musk a violĂ© la loi.

Au dĂ©but, lorsque Musk lui-mĂȘme a achetĂ© Twitter, il semblait que sa rĂ©volution ne concernait que le personnel employĂ© au sein de l’entreprise et pas, mĂȘme, les nettoyeurs.

Lire aussi :  Comment connecter facilement une Samsung Galaxy Watch Ă  un tĂ©lĂ©phone: les Ă©tapes essentielles

Depuis la fin du mois d’octobre, date Ă  laquelle il est devenu le nouveau propriĂ©taire, Musk lui-mĂȘme avait Ă©galement annoncĂ© la suppression de plus de 1,5 milliard de profils Twitter, la grande majoritĂ© (pour faire de la place) sont des profils oĂč rien n’a jamais Ă©tĂ© publiĂ© ou auxquels les utilisateurs n’ont pas accĂ©dĂ© depuis des annĂ©es.

Mais c’est une chose de « nettoyer le serveur » et une autre de le faire parmi les ressources humaines dont disposait l’entreprise avant son arrivĂ©e. L’arrivĂ©e de la plainte de ces nettoyeurs, dĂ©sormais licenciĂ©s, s’ajoute aux nombreuses autres nouvelles qui nous font rĂ©aliser Ă  quel point la vie des quelques chanceux qui sont restĂ©s travailler chez Twitter a radicalement changĂ©.

Une politique de workaholic qui pousse les travailleurs eux-mĂȘmes Ă  se stresser pour conserver leur emploi. Mais combien de temps cela peut-il durer ?

Lisez aussi : Twitter suspend le compte qui suivait les voyages en jet d’Elon Musk

4.3/5 - (11 votes)

En tant que jeune média indépendant, WIZEE a besoin de votre aide. Soutenez-nous en nous suivant et en nous ajoutant à vos favoris sur Google News. Merci !

Suivez-nous sur Google News

Article prĂ©cĂ©dentTĂąches d’huile sur le sol : comment les enlever en quelques secondes ?
Article suivantVaccin trivalent et autisme : y a-t-il une corrélation ?
DiplÎmée en médias, communication numérique et journalisme de l'université Lyon 2 , je rédige pour Wizee sur l'actualité de notre vie quotidienne !