Le télescope Einstein, un projet ambitieux auquel la France veut participer. Un instrument qui représente le plus grand détecteur d’ondes gravitationnelles au monde.
Le plus grand détecteur d’ondes gravitationnelles au monde, qui pourrait nous en apprendre davantage sur la matière noire, très étudiée. Le projet pourrait partir de la Sardaigne. Voici en quoi consiste le projet.
Le télescope Einstein pour étudier la matière noire
La France a l’intention de prendre part au projet lié à la Télescope Einstein qui servira de plus grand détecteur d’ondes gravitationnelles au monde. Un instrument qui permettra à la communauté scientifique d’étudier, de manière plus approfondie, la fascinante matière noire.
Dans ce sens, les activités du Consortium pour l’infrastructure du télescope Einstein ont déjà commencé, un projet qui prévoit la collaboration de divers organismes de recherche et universités européens.
Au cours des trente prochains mois, l’étude de faisabilité du site italien qui accueillera le télescope Einstein sera préparée et exposée.
Fonctionnement du télescope Einstein ?
Le télescope d’Einstein détectera la ondes gravitationnelles en utilisant une technologie puissante qui dépasse, d’un facteur dix, celle utilisée dans les modèles précédents. En ce sens, il pourra permettre aux scientifiques de découvrir quelques détails supplémentaires sur la matière noire, mais aussi sur la mécanique quantique et la relativité.
Plus précisément, il s’agit d’un interféromètre qui peut mesurer l’écart temporel dans le chemin pris par deux ondes lumineuses. Par rapport aux modèles précédents, l’ET sera également différent en termes de structure.
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Il n’aura pas la forme en L qui a caractérisé les modèles que nous connaissons déjà, mais aura une forme triangulaire, avec deux interféromètres placés à chaque sommet, de manière à localiser, avec une plus grande précision, la source et a ensuite procédé à la décomposition des polarisations.
Le projet devrait donc prendre vie dans une zone où il y a peu d’habitants et où l’on peut construire des laboratoires de recherche dans lesquels on peut développer une série de nouvelles technologies qui seront utiles pour l’observatoire gravitationnel qui sera construit dans quelque temps.
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