Invité dans l’émission Quotidien le jeudi 5 septembre, le talentueux Jean-Pascal Zadi a partagé une anecdote peu commune. Celle-ci concerne le processus de création de la série En Place, accessible sur Netflix, et le sort réservé à l’un des chroniqueurs de l’émission dans cette dernière.
Le grand retour des émissions phares
À l’aube de la nouvelle saison 2024-2025, Quotidien a fait son grand retour sur TMC le 2 septembre. La reprise des activités s’est illustrée par une pléiade d’invités de marque. Teddy Riner, Jean Dujardin et François Hollande ont tous répondu présents. Jean-Pascal Zadi a également fait partie de ce panel prestigieux, aux côtés de figures comme Laetitia Dosch et François Damiens.
Faisant la promotion de son film Le Procès du chien, où il incarne un rôle principal, Zadi a surtout suscité l’intérêt autour de la série Netflix En Place. Celle-ci, ayant impliqué un chroniqueur de Quotidien, a révélé une curiosité concernant son absence à l’écran.
Les coulisses de En Place
Jean-Pascal a divulgué que, malgré la participation du chroniqueur à la série, ses scènes ont été supprimées au montage. Cette révélation a piqué la curiosité de l’équipe et des téléspectateurs, suscitant une multitude de questions sur les motifs de cette décision.
Un rôle évanoui et des promesses
Dans le rôle de Stéphane Blé, personnage emblématique devenu président de la République, Zadi a partagé l’écran avec Abda Sall, journaliste chez TMC. Cette collaboration inattendue a pris une tournure inattendue lorsque Sall a appris sa suppression du final cut. « On me voit, mais de dos, sans m’entendre, » a-t-il expliqué, non sans une pointe d’humour.
Sous l’œil attentif de l’animateur Yann Barthès, Jean-Pascal Zadi a justifié cette décision en soulignant le talent de Sall et en promettant de lui attribuer un rôle significatif dans la troisième saison. Il ne reste plus à Sall qu’à se préparer pour ce prochain défi.
Cet échange humoristique mais révélateur démontre la complexité des choix réalisés lors du montage d’une série. Il met en lumière la nature imprévisible du monde du spectacle, tout en confirmant l’engagement des créateurs à valoriser le potentiel de leurs collaborateurs. Un bel exemple de la dynamique de travail en coulisses, souvent méconnue du grand public.
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