Wendy Williams fait face à une nouvelle polémique. Son ex-mari, Kevin Hunter, a déposé une plainte alléguant que sa tutrice, Sabrina Morrissey, a vendu ses chers chats, Chit Chat et My Way, sans son consentement, la privant ainsi de leur soutien essentiel. Hunter réclame 250 millions d’euros en dommages.
Allégation de Vente des Chats de Wendy Williams par son Gardien
Une nouvelle affaire juridique implique Wendy Williams, marquée par des allégations graves faites par son ex-mari Kevin Hunter. Ce dernier, qui affirme agir en son nom, a déposé une plainte affirmant que le gardien de Williams, Sabrina Morrissey, a "vendu" les deux félins bien-aimés, Chit Chat et My Way, sans que Williams en soit informée. Cette action aurait ainsi isolé l’animatrice de télévision de la compagnie et du soutien émotionnel dont elle avait besoin.
Les Détails de la Plainte
Datée du 17 juin, la plainte accuse Morrissey d’avoir "violé son devoir fiduciaire" envers Williams. Selon les termes du document, elle aurait refusé de continuer à payer les frais de pension pour les deux chats avant de les vendre ultérieurement. En effet, Wendy Williams, 60 ans, est sous tutelle légale depuis 2022, qui supervise non seulement ses finances, mais aussi sa santé. Elle vit dans un établissement de soins à New York depuis 2023.
Williams avait évoqué lors d’une interview sur The Breakfast Club en janvier que Morrissey lui avait annoncé que ses chats, qu’elle avait sauvés en 2019, étaient "partis". Elle a raconté : “J’ai demandé, ‘Vous voulez dire qu’ils sont partis, partis, partis?’ Chit Chat et My Way, mes chats jumeaux, ils sont partis."
L’Apparition des Chats dans un Documentaire
La question de l’emplacement des chats a été soulevée pour la première fois après leur apparition dans le documentaire étonnant de Lifetime, Where Is Wendy Williams?. Cela a suscité des inquiétudes sur leur bien-être et leur situation actuelle.
Les Accusations Contre les Autres Parties
La plainte mentionne 48 défendeurs, y compris Morrissey, la juge en charge de la tutelle, Lisa Sokoloff, et Wells Fargo, parmi d’autres, qu’il accuse d’avoir violé les droits constitutionnels de Williams. Bien que la plainte stipule que Williams ne cherche pas la fin de sa tutelle, Hunter demande un "nouveau gardien impartial", la levée du secret sur ses dossiers judiciaires, ainsi que sa libération d’une "confinement involontaire", en plus de 250 millions d’euros pour "pertes financières, dommages à la réputation, détresse émotionnelle, préjudice à la réputation, frais juridiques et privation de liberté".
Hunter soutient également que Williams a été la victime d’une "abus débridé, de maltraitance et de malversations fiscales" depuis la mise en place de sa tutelle, qui a été imposée en raison d’un diagnostic de démence. Ce diagnostic a depuis été contesté.
Évaluation Médicale et Restrictions
Hunter affirme que son ex-femme "n’a pas reçu d’évaluation médicale indépendante" avant d’être placée sous tutelle et a depuis subi "une surmédication et des restrictions indues". Son avocat, LaShawn Thomas, a également reconnu que Williams n’est "pas légalement consciente de toutes les preuves qui soutiennent nos allégations selon lesquelles elle ne devrait pas être contrainte à souffrir de cette tutelle".
Thomas a déclaré qu’il prévoit de fournir des preuves suffisantes pour soutenir leurs revendications et garantir que ses droits soient défendus et qu’elle soit indemnisée financièrement.
Réactions et Demandes de Commentaires
Les représentants juridiques de Hunter, Sokoloff, ainsi que l’établissement de soins, ont été sollicités pour un commentaire. Wells Fargo a également refusé de faire une déclaration concernant l’affaire.
Mon avis :
La récente plainte de Kevin Hunter, l’ex-mari de Wendy Williams, soulève des préoccupations concernant la gestion de la tutelle et le bien-être de l’animale de compagnie en expliquant que des chats appréciés ont été vendus, entraînant une isolation émotionnelle. Cependant, la contestation de la tutelle pourrait également poser des risques juridiques amplifiés, soulignant la complexité des soins nécessaires à Williams. La plainte de 250 millions de dollars (environ 236 millions d’euros) met en lumière des allégations graves tout en suscitant un débat sur la responsabilité des tuteurs.
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