Keri Russell partage sa perspective sur les standards de beauté à Hollywood. Dans une interview exclusive, l’actrice de 49 ans explique pourquoi elle refuse de suivre les tendances actuelles de chirurgie plastique.
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Une critique des standards de beauté
« Tout le monde a un avis sur votre apparence, votre façon de vous habiller, votre coiffure », confie Russell à PEOPLE. Cette prise de position fait écho à son personnage dans The Diplomat, l’ambassadrice américaine Kate Wyler, dont l’apparence est souvent scrutée par les autres personnages.
« Je suis totalement empathique », souligne l’actrice, connue depuis son rôle dans Felicity en 1998. « C’est une chose étrange d’être une femme. Tout le monde a un avis sur votre apparence, votre façon de vous habiller, votre coiffure. »
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Le plaisir de jouer un personnage réfractaire
Russell apprécie particulièrement l’attitude de son personnage face à ces pressions : « C’est la nature de notre société. Mais je trouve aussi ça très amusant, c’est comme un défi intéressant à jouer. J’aime comment elle est ronchonne à ce sujet, comment elle essaie toujours de se battre contre ça, et comment elle est impolie à ce sujet. J’adore ça. Je trouve ça délicieux. »
La chirurgie plastique sous les feux des projecteurs
Les questions de beauté dépassent la fiction pour s’inviter dans les conversations réelles de l’actrice : « C’est un sujet dont mes amies et moi parlons tout le temps. La chirurgie plastique vit un moment fort en ce moment — hommes, femmes, jeunes de 20 ans. Je veux dire, c’est partout. »
« Nous sommes inondés par ces stars de cinéma. Même si elles ont 50 ou 60 ans, elles ont l’air incroyable », ajoute-t-elle. « Je regarde ces émissions et je me dis, je ne ressemble pas à ça, tu sais. J’aime mon apparence dans la série, et c’est incroyable que je ressente que c’est étrange, que c’est unique d’avoir cette apparence, mais c’est le cas. »
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Un clin d’œil à sa propre chevelure
Russell a également récemment mentionné avoir « adoré » la « subtile » référence dans un épisode de la saison 3 aux décennies de discussions sur ses cheveux.
Dans le quatrième épisode, le personnage de Russell s’énerve contre son agent des services secrets, censé être son double et lui ressembler, à cause de ses cheveux très ébouriffés. « Ce n’est pas que je ne me lave pas les cheveux. Je le fais. Et je les brosse », explique son personnage. « C’est un style. Ce style est : ne pas avoir l’air d’y passer des heures [à se coiffer], parce que certaines personnes ont des choses plus importantes à faire. Ce n’est pas : n’a pas pu relever la capote de la décapotable. »
La saison 3 de The Diplomat est désormais disponible sur Netflix.
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