Le 15 juin, la tragique nouvelle du décès de la chanteuse brésilienne Ana Bárbara Buhr Buldrini a choqué le monde. Âgée de 31 ans, elle est décédée à Istanbul après plusieurs interventions chirurgicales visant à améliorer son esthétique. Son mari, Elgar Sueia, réclame justice et vérité suite à cette perte dévastatrice.
Triste décès d’une influenceuse après une chirurgie esthétique en Turquie
La mort tragique d’Ana Bárbara Buhr Buldrini
Le 15 juin 2025, Ana Bárbara Buhr Buldrini, une chanteuse brésilienne, mannequin et influenceuse suivie par près de 800 000 personnes sur Instagram, est décédée à l’âge de 31 ans après avoir subi plusieurs interventions chirurgicales esthétiques à Istanbul, en Turquie. Cette tragédie a eu lieu après qu’elle ait voyagé avec son mari, Elgar Sueia, depuis Mozambique jusqu’à Istanbul pour des procédures qui comprenaient une liposuccion, une augmentation mammaire et une opération du nez.
Les détails de l’intervention
D’après les déclarations de Elgar Sueia, son épouse avait passé un accord avec l’hôpital Tusa pour réaliser ces interventions en échange de la promotion de l’hôpital sur ses comptes de réseaux sociaux. Après avoir été opérée, Buldrini a subitement fait un arrêt cardiorespiratoire, entraînant des efforts de réanimation qui ont duré 90 minutes, selon un communiqué de l’hôpital.
Sueia a révélé que sa femme n’avait pas été suffisamment préparée pour les procédures. Il a expliqué que bien que la chirurgie ait été initialement programmée pour le 18 juin, le médecin avait décidé de l’avancer au 15 juin à cause de contraintes d’emploi du temps. Ils se sont rendus à la clinique simplement pour visiter les lieux, mais le médecin a insisté pour procéder à l’opération sans que Ana ne soit complètement prête.
Les préoccupations exprimées par le mari
Le mari a également mentionné que jeûner était requis avant l’opération, mais que Buldrini avait mangé. Le jour même de la chirurgie, celle-ci a été effectuée seulement deux jours après la consultation initiale. D’après les rapports, l’opération a été finalisée aux alentours de 23h00, et Sueia a été amené à voir sa femme alors qu’elle était encore sous anesthésie.
Il a décrit la scène comme troublante, expliquant qu’il avait dû attendre plus d’une heure avant d’obtenir des nouvelles de son épouse. Quand il est finalement descendu au rez-de-chaussée, des médecins lui ont indiqué que son cœur battait lentement, tandis que d’autres affirmaient qu’elle était déjà décédée.
L’appel à la vérité
En réponse à cette tragédie, Sueia a utilisé Instagram pour exprimer sa douleur et appeler à la justice. Dans un post, il a déclaré : « Je parle aujourd’hui non seulement en tant que mari ayant perdu l’amour de sa vie, mais aussi en tant qu’être humain exigeant la vérité, la responsabilité et la justice. » Il a souligné que Buldrini était venue en Turquie avec espoir et confiance, mais que cette confiance avait été trahie par le système qui a permis que de tels incidents se produisent sans contrôle.
La réaction de l’hôpital
L’hôpital Tusa a réagi en affirmant que l’ensemble des informations légales et médicales avaient été communiquées au patient. L’hôpital a également indiqué qu’une complication imprévue était survenue pendant la phase de récupération. Ils ont confirmé que les efforts de réanimation avaient été menés par une équipe d’anesthésie expérimentée, mais malheureusement, Buldrini n’a pas pu être sauvée.
Enquête en cours
À la suite de ce tragique incident, des questions ont été soulevées concernant la sécurité et la préparation des patients avant les interventions chirurgicales esthétiques. Les procédures de chirurgie esthétique, bien que courantes, portent des risques, et il est crucial que tous les aspects soient soigneusement gérés pour éviter de telles tragédies dans le futur. Le cas de Buldrini soulève des préoccupations non seulement sur la rigueur des protocoles médicaux, mais aussi sur l’éthique des arrangements entre influenceurs et établissements de soins.
La douleur de cette perte évoque l’importance d’une sensibilisation accrue et d’une vigilance face aux risques des chirurgies esthétiques, notamment auprès des jeunes qui aspirent à des standards de beauté souvent insoutenables.
Mon avis :
La mort tragique d’Ana Bárbara Buhr Buldrini suite à une chirurgie esthétique soulève des questions critiques sur la sécurité et la préparation des patients. Bien que les hôpitaux affirment respecter les normes, des incidents de complications inattendues, combinés à un manque de préparation adéquate, soulignent la nécessité d’une réglementation plus stricte dans ce secteur.
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